Corne-cul

Ah ! ça ira, ça ira, à donfe chez les Francs ! La marquise de la Pompalière se repose non loin de chez Marie-Antoinette ; pendant ce temps Françouais est au radada : les successions n’en finiront plus ! La Baronne Anne de Virago ronge son frein : la petite princesse de Castille ne verra plus son papa, même en cachette, entre deux calèches, aux Tuileries ! Quant à l’Abbesse Royale, elle regrette d’avoir joué les entremetteuses.

Alors, l’ennemi angloua se gausse de nos gauloiseries mais nous, les Francs, on n’est pas des pédés ! Pourtant qu’est-ce qu’on se fait ch… ! Pleut sans arrêt, pire qu’en perfide Albion ! Et rien à la télé… à part Dieudonné.

Ca c’est triste : la marquise en disgrâce fait pleurer dans les chaumières. Françouais, tient bon : les nobliaux sont rentrés dans le rang ; il a redistribué les charges et pèse de tout son poids, de haut en bas.

Ca rigole plus en-dessous ; ça conspire à droite, ça conspire à gauche ; à drouaite, surtout chez le Marquis de la Jupperie, expert en fourberies. Quant au Baron de Marchanlon, il se retient de respirer, il est tout rouge, jaloux comme un poux !

Ramdam à la cour tandis que le peuple, chaque lundi matin, en se levant, n’a qu’une envie : retourner au lit, au lit avec JU… !

Ca, c’est : DANS SES REVES !