uber

En français correct, il faudrait parler de "louage" de la force de travail par des sociétés assises sur des sites internet, plutôt qu'utiliser le moche "überisation" pour qualifier cette nouvelle forme d'économie permise par le web 2.0.

Aujourd'hui, Über, les taxis qui n'en sont pas vraiment, ou AirBnb, ces hôteliers qui n'en sont pas du tout, représentent l'économie dit du partage, vue par les économistes ultra-libéraux. La précarisation des emplois de leurs adhérents m'empêche d'adhérer à ce partage-là, qui ressemble plus à une arnaque.

Mais dans cet ÜBER, sorti tout droit d'un hymne allemand bien connu, l'oreille française entend tant de menaces et de crimes, qu'il faut à tout prix le garder précieusement !