jouïr

Dans le cadre de la réforme de l'orthographe (2016), je veux bien supprimer quelques circonflexes, si en contrepartie ladite réforme reprend la proposition de Bernard Pivot de rajouter un tréma (appelée couilles par les typographes, petits coquins !) au verbe : jouir, devenant ainsi un mot-valise, composé de jouir et ouïr. "Les deux petits points du tréma accentuent la jouissance de sa prononciation" défendait-il sur Twitteur.