baisé (être)

Se faire baiser, est souvent une image. Parfois une action entreprise contre votre intimité. C'est toujours une dure réalité. Car même employé au sens figuré, le terme comporte une charge émotionnelle certaine. On n'aime jamais se faire baiser. Surtout pas par ceux pour qui on a voté. C'est certainement ce qui explique la versatilité de l'électorat en France aujourd'hui.

Lorsque se faire baiser semble faire vraiment mal, on ajoute : avec une poignée de sable. Si au contraire l'action semble sournoise, on questionne simplement : avec vaseline ?

"Les baisés, comptez-vous!" lança le caporal aux piou-pioux désignés pour la corvée de chiotte" in "Mes campagnes" Général Cassepompon